Commentaire : /L’identité du personnage est douteuse elle repose sur une note de Amplonius RATING de Berka sur le manuscrit qui contient ses œuvres supposées voir la discussion de ce problème par Sten EBBESEN. En effet, Jan PINBORG a démontré que les deux traités de grammaire qui lui ont été attribués sont si différents qu’ils ne peuvent avoir été écrits par la même personne. Le commentaire sur PRISCIEN peut avoir été écrit par un auteur effectivement nommé Simon, mais il pourrait aussi s’agir de Simon de FAVERSHAM. Il n’est pas exclus qu’il soit danois, mais cela provient peut-être du fait qu’il a (peut-être) aussi écrit un commentaire sur un traité de Matin de DACIE Sten EBBESEN le désigne comme “SIMON 2”. L’auteur de la Domus grammatice”, en revanche, n’est probablement ni Danois, ni même prénommé Simon Sten EBBESEN le désigne comme “SIMON 1”. Enfin, un Compotus ne peut être attribué ni à l’un ni à l’autre et est donc assigné à un SIMON 3”. Cette fiche est celle de “SIMON 2” ;
EBBESEN (S.), Simon de Dacia or Simon Dacus [annoncé comme à paraître par Olga WEIJERS ?
GRABMANN (M.), Mittelalterliches Geistesleben, Münich, I, 1926, 123, 132 ;
GRABMANN (M.), Die Sophismataliteratur des Mittelalters, (Beiträge zur Geschichte der Philosophie und Theologie des Mittelalters 36.1) Münster, 1940, 47-49 ;
PINBORG (J.), Ein neue sprachlogische Schrift des Simon de Dacia, Scholastik, 39, 1964, 220-232 ;
PINBORG (J.), Die Entwicklung der Sprachtheorie im Mittelalter, (Beiträge zur Geschichte der Philosophie und Theologie des Mitteallter, 42,2) Münster-Copenhague, 1967 ;
ROSIER (I.), La grammaire des modistes, Villeneuve d’Ascq, 1983 ;
Autres bases prosopographiques:
MIRABILE
Sten EBBESEN
https//medieval.wiki.uib.no/Simon_de_Dacia ;
STUDIUM http//lamop-vs3.univ-paris1.fr/studium/ Rédaction Jean-Philippe Genet, 08/09/2024.
<1a> 58034
<1b> SIMON de Dacia 2
<1c> $Simon de DACIA$
<1c> /L’identité du personnage est douteuse : elle repose sur une note de $Amplonius RATING de Berka$ sur le manuscrit qui contient ses œuvres supposées : voir la discussion de ce problème par $Sten EBBESEN$. En effet, $Jan PINBORG$ a démontré que les deux traités de grammaire qui lui ont été attribués sont si différents qu’ils ne peuvent avoir été écrits par la même personne. Le commentaire sur $PRISCIEN$ peut avoir été écrit par un auteur effectivement nommé Simon, mais il pourrait aussi s’agir de $Simon de FAVERSHAM$. Il n’est pas exclus qu’il soit danois, mais cela provient peut-être du fait qu’il a (peut-être) aussi écrit un commentaire sur un traité de $Matin de DACIE$ : $Sten EBBESEN$ le désigne comme “SIMON 2”. L’auteur de la &Domus grammatice”, en revanche, n’est probablement ni Danois, ni même prénommé Simon : $Sten EBBESEN$ le désigne comme “SIMON 1”. Enfin, un &Compotus& ne peut être attribué ni à l’un ni à l’autre et est donc assigné à un SIMON 3”. Cette fiche est celle de “SIMON 2” ;
<r> https://medieval.wiki.uib.no/Simon_de_Dacia.
<1d> Maître ?
<1f> %1280-1290%
<1g> %1285%
<1k> Incertain
<2a> *Danemark ?
<5b> ?
<5c> Maître ès arts ?
<19> Oeuvres écrites en latin :
<22> Auteur actif dans le domaine grammatical :
<22a1> &Quaestiones super II° minoris voluminis Prisciani&
<<b>> %1280-1290%
<<c>> MS. Erfurt, Wiss. B. Amplon. O 10, f. 83-90.
<<c>> MS. Città=del=Vaticano, BAV Pal. lat. 1053, f. 16-64.
<<cc>> Inc. : "Quaeritur utrum grammatica sit scientia, et videtur quod non : ...".
<<i>> In OTTO (A.), &Simoni Daci Opera&, (Corpus Pholosophorum Danicorum medii aevi, 3) Copenhague, 1963.
<<m>> Commentaire sur l’oeuvre de $PRISCIEN$ : quarante questions sur le livre 18 des &Institutiones grammatice&.
<22a2> &Super modos significandi Martini&
<<b>> %1280-1290%
<<c>> MS. Brugge, StB 535, f. 64ra-96rb ;
<<c>> MS. Klagenfurt, StudienB Perg. HS 13, f. 66ra-108vb ;
<99b> GRABMANN (M.), &Die Sophismataliteratur des Mittelalters&, (Beiträge zur Geschichte der Philosophie und Theologie des Mittelalters 36.1) Münster, 1940, 47-49 ;
<99b> PINBORG (J.), Ein neue sprachlogische Schrift des Simon de Dacia, &Scholastik&, 39, 1964, 220-232 ;
<99b> PINBORG (J.), &Die Entwicklung der Sprachtheorie im Mittelalter&, (Beiträge zur Geschichte der Philosophie und Theologie des Mitteallter, 42,2) Münster-Copenhague, 1967 ;