Elle est mêlée à un procès au Parlement de Paris en 1381, dans lequel Jean GOLEIN obtient l’adjonction de l’université de Paris. Pernelle de CREPON, dont il était le confesseur, lui a légué une maison, mais les exécuteurs testamentaires le soupçonnent d’avoir influencé abusivement sa pénitente . Selon Serge LUSIGNAN, Jean GOLEIN � ne devait pas être innocent dans l’affaire �. Le procès se termine en 1395 seulement la maison est trensformée en chapelle et Jean GOLEIN est contraint à verser 300 francs pour assurer la fondation ;
Référence : LUSIGNAN, 84.
Bibliographie
Ouvrages sur l'individu:
LUSIGNAN (S.), ’Vérité garde le roy’. La construction d’une identité universitaire en France (XIIIe-XVe siècle), Paris, 1999, 87 ;
Autres bases prosopographiques:
STUDIUM http//lamop-vs3.univ-paris1.fr/studium/ Rédaction Jean-Philippe Genet, 18/04/2021.
<1a> 52265
<1b> PERNELLE de Crépon
<1c> $Pernelle de CRÉPON$
<1d> Propriétaire de maison
<1e> % -1381%
<1f> %1381-1381%
<1h> Femme
<1k> Extérieure
<3d> Son confesseur est $Jean GOLEIN$.
<7t> Propriétaire d'une maison.
<8g> Elle est mêlée à un procès au Parlement de £Paris en %1381%, dans lequel $Jean GOLEIN$ obtient l’adjonction de l’université de £Paris. $Pernelle de CREPON$, dont il était le confesseur, lui a légué une maison, mais les exécuteurs testamentaires le soupçonnent d’avoir influencé abusivement sa pénitente . Selon $Serge LUSIGNAN$, $Jean GOLEIN$ « ne devait pas être innocent dans l’affaire ». Le procès se termine en %1395% seulement : la maison est trensformée en chapelle et $Jean GOLEIN$ est contraint à verser 300 francs pour assurer la fondation ;
<r> LUSIGNAN, 84.
<19> Pas d'oeuvre connue.
C BIBLIOGRAPHIE
<99b> LUSIGNAN (S.), &’Vérité garde le roy’. La construction d’une identité universitaire en France (XIIIe-XVe siècle)&, Paris, 1999, 87 ;
<99c> STUDIUM : http://lamop-vs3.univ-paris1.fr/studium/ : Rédaction : Jean-Philippe Genet, 18/04/2021.