O.P. frère dominicain de la province (dominicaine) de France.
Carrière professionnelle
Universitaire:
Paris (Faculté de Théologie Lecteur de la Bible 1378-1379) ;
Référence : REICHERT 2, 433 ;
Référence : CUP III, 229 (n 149).
Commentaire : /Il est assigné au chapitre=général des Dominicains (1376) pour lire à Paris en 1378-1379 ;
Paris (Faculté de Théologie Lecteur des Sentences en 1385 ?) ;
Référence : REICHERT 3, 3.
Référence : CUP III p.291 (n1447).
Référence : EUBEL AVIGNON 33 (n 259).
Référence : EUBEL AVIGNON 47 (n 372).
Référence : CUP III, 372 (n 1513).
Référence : CUP III, 354 (n 1511).
Référence : CUP III, 369 (n 1513).
Commentaire : /Il est assigné par le chapitre=général des Dominicains (1380) pour lire à Paris en 1381 ;
Commentaire : /Le 5 décembre 1382, le pape CLEMENT VII ordonne au chancelier de Paris, Johannes BLANCHART, de voir si Guillelmus de ROSERIIS pourrait lire dans une des écoles du couvent Saint-Jacques "estivaliter" afin d'obtenir la licence à terme.
Commentaire : /Le 6 novembre 1383, le pape ordonne qu'il lui soit permis de lire les deux derniers livres des Sentences après Noël et qu'il obtienne son magistère.
Commentaire : /Le témoignage de Andreas de GYACO, bachelier en droit canon, révèle que Guillelmus de ROSERIIS n'a pas pu lire les Sentences à cause d'une maladie et a du en appeler au roi et à PHILIPPE Ile Hardi, duc de Bourgogne, car le chancelier Johannes BLANCHART refusait d'obéir aux injonctions du pape de laisser relire Guillelmus de ROSERIIS ;
Commentaire : /Dans les articles d'accusation contre Johannes BLANCHART, il est indiqué qu'il aurait reçu 20 francs d'or et une mesure de vin de Beaune de Guillelmus de ROSERIIS afin que ce dernier puisse lire les Sentences. Mais, le chancelier favorise un autre dominicain qui lui aurait donné 60 francs d'or ;
Commentaire : /Dans le témoignage donné par le bedeau de la faculté de théologie, Johannes BLANCHART semble avoir justifié son opposition constante à Guillelmus de ROSERIIS durant son cursus car ce dernier aurait mené une vie immorale ;
Bibliographie
Sources inédites et éditées:
MS. Paris, BnF lat.5657-A, f.10r.
Ouvrages usuels et instruments de travail:
CUP III, 229 (n 1409), 291 (n 1447), 354 (n 1511), 369, 372-374, 376-377, 380, 384 (n 1513) ;
EUBEL AVIGNON 33 (n259), 47 (n 372) ;
REICHERT 2, 433 ;
REICHERT 3, 3 ;
SULLIVAN Theol. I, 312-313 ;
Ouvrages sur l'individu:
BERNSTEIN (A.E.), Pierre d'Ailly and the Blanchard Affair. University and Chancellor of Paris at the Beginning of the Great Schism, Leyde, 1978, 94-98.
Autres bases prosopographiques:
STUDIUM http//lamop-vs3.univ-paris1.fr/studium/ Rédaction Claire Priol-Hoogland ; révision Jean-Philippe Genet, 15/04/2022.
<1a> 4369
<1b> GUILLELMUS de Roseriis
<1c> $Guillelmus de ROSERIIS$
<1d> Dominicain
<1f> %1376-1387%
<1k> Maître
<5b> *Paris %1378-1386%.
<5c> Licencié en théologie (*Paris) %1386%.
<5c> /Il est classé 5/17.
<r> MS. Paris, BnF lat.5657-A, f. 10r.
<5e> Couvent (dominicain) de £Paris (*Jacobins).
<6d> O.P. : frère dominicain de la province (dominicaine) de £France.
<7b> *Paris (Faculté de £Théologie : Lecteur de la £Bible %1378-1379%) ;
<7b> /Il est assigné au chapitre=général des £Dominicains (%1376%) pour lire à *Paris en %1378-1379% ;
<r> REICHERT: 2, 433 ;
<r> CUP: III, 229 (n° 149).
<7b> *Paris (Faculté de £Théologie : Lecteur des £Sentences en %1385% ?) ;
<7b> /Il est assigné par le chapitre=général des £Dominicains (%1380%) pour lire à *Paris en %1381% ;
<r> REICHERT: 3, 3.
<r> CUP: III p.291 (n°1447).
<7b> /Le 5 décembre %1382%, le pape $CLEMENT VII$ ordonne au chancelier de £Paris, $Johannes BLANCHART$, de voir si $Guillelmus de ROSERIIS$ pourrait lire dans une des écoles du couvent £Saint-Jacques "estivaliter" afin d'obtenir la licence à terme.
<r> EUBEL AVIGNON: 33 (n °259).
<7b> /Le 6 novembre %1383%, le pape ordonne qu'il lui soit permis de lire les deux derniers livres des £Sentences après Noël et qu'il obtienne son magistère.
<r> EUBEL AVIGNON: 47 (n° 372).
<7b> /Le témoignage de $Andreas de GYACO$, bachelier en droit canon, révèle que $Guillelmus de ROSERIIS$ n'a pas pu lire les Sentences à cause d'une maladie et a du en appeler au roi et à $PHILIPPE Ile Hardi, duc de £Bourgogne$, car le chancelier $Johannes BLANCHART$ refusait d'obéir aux injonctions du pape de laisser relire $Guillelmus de ROSERIIS$ ;
<r> CUP: III, 372 (n° 1513).
<7b> /Dans les articles d'accusation contre $Johannes BLANCHART$, il est indiqué qu'il aurait reçu 20 francs d'or et une mesure de vin de £Beaune de $Guillelmus de ROSERIIS$ afin que ce dernier puisse lire les £Sentences. Mais, le chancelier favorise un autre dominicain qui lui aurait donné 60 francs d'or ;
<r> CUP: III, 354 (n° 1511).
<7b> /Dans le témoignage donné par le bedeau de la faculté de théologie, $Johannes BLANCHART$ semble avoir justifié son opposition constante à $Guillelmus de ROSERIIS$ durant son cursus car ce dernier aurait mené une vie immorale ;
<99b> BERNSTEIN (A.E.), &Pierre d'Ailly and the Blanchard Affair. University and Chancellor of Paris at the Beginning of the Great Schism&, Leyde, 1978, 94-98.